Plan cul cougar

Cette nuit (de folie), j'ai découvert que ma mère était une cougar, mais une cougar du genre chaude et salope

Moi c'est Kev, un jeune et beau mec de 21 ans et je vis encore chez ma mère (mon père à foutu le camp, s'interressant plus à la moule fraîche de sa secrétaire plutôt qu'à la chatte supposée ramollie de sa femme).
L'autre soir il y avait un match de foot PSG-OM, du coup j'ai invité mes potes David et Jonathan. Nous on est plutôt PSG, mais en réalité le foot on s'en branle un peu. C'est plutôt l'occasion de passer une soirée tranquille à siroter des Tequilla et fumer des oinjs. Et comme je suis un garçon responsable, pas question que, bourrés, mes potes décanillent en bagnole. Du coup en sort les matelas et les duvets et c'est bourrés comme des coins qu'on se jette dans les bras de cette chaudasse de Morphée.
Mais à peine avais-je commencer à ronfler que je me reveille en sursaut : je constate que mes deux potes ne sont plus là ! J'entrevois de la lumière dans l'entrebaillement de la lourde vers laquelle je me dirige sans même prendre la peine de m'habiller (après tout, je suis chez moi et je peux me balader la bite à l'air). La lumière, à peine tamisée, vient du salon où j'ai la stupeur de retrouver mes potes David et Jonathan debouts, en rang d'oignon et ma mère, à genou et à poil en train de pomper goulument leurs braquemards. J'en reste les yeux comme deux ronds de flans, ma mère est une cougar et vu avec quelle élégance et professionnalisme elle joue du pipeau je vois tout de suite que la darone a un certain bagout question manche à balai. Sa grosse paire de nichons qui ballotte au rythme de ses aspirations donne une touche finale à ce tableau peint comme si Renoir eut été pris de folie passagère.
Je reprends mes esprits et décide d'immortaliser la scène, photographiquement parlant. Et puis les photos serviront à illustrer un ouvrage que je viens d'entâmer, un manuel de savoir vivre à l'usage des jeunes filles en fleurs, sobrement intitulé : "La fellation pour les nulles" Je commence à mitrailler en plan large avant de me rapprocher un peu excité quand même à la vue de la bouche de ma mère qui gobe les deux glands juvéniles sans en perdre une goutte. Excité ça veut dire que, alors que je ne devrais pas, je me mets à bander.
Les acobaties maternelles commence à prendre une forme plus charnue quand maman relève sa croupe en signifiant d'un regard à David de passer derrière elle. Le gamin ne se fait pas prier, en profite pour donner quelques coups de langue dans la raie du cul de la mère avant de lui planter son merlan dans la vagin pour la ramoner tranquillement tout en malaxant son gros cul. Pendant que ma mère couine et râle chaque fois qu'elle libère le gland de Jonathan, j'en profite, la queue bien dûre moi aussi pour recadrer en plan serré, ma queue se rapprochant dangeureusement. Et c'est là que les choses ont commencé à merder légèrement quand ma mère a attrapé ma bite et à commencer à me branler avec une certaine dose d'amour. Après tout ma mère elle me la souvent lavé ma queue, on peut dire que c'est elle qui la connait le vieux avec son prépuce un peu long. Mais comme je m'approche un peu trop, ma mère me rabrout : "tu crois quand même pas que je vais te sucer, je suis ta mère quand même"
Je comprends son message, je la connais la darone, alors je passe derrière elle et fait signe à David de me laisser la place. Je découvre un chatte trempée et très poilue et une jolie pastille brune qui baille et s'entrouve gentiment. L'idée me vient d'enculer ma mère, de toute façon, je vais pas la prendre dans sa boite à mouille, ça serait con que je l'engrosse. J'approche mon gland de sa rondelle, je pousse doucement pour lui faire rentrer la tête. L'anus fripé se referme sur sa base comme la bouche d'un oursin sur sa proie. Pour toute réaction, maman donne un grand coup de rein vers l'arrière. Ma queue disparait complètement dans sa caverne sombre, sans rencontrer la moindre résistance. Je me dis que maman a quelques années de vol derrière elle analement parlant, et que c'est pas que le mandrin de papa qui a à ce point débroussaillé le passage.
Mais les questions viendront en temps voulu. Pour l'instant je sodomise maman qui trouve le moyen de péter au moment ou je sors ma queue pour admirer le mouvement de machoire de son anus. Je l'encule de plus belle et dans les claquements de ses fesses contre mes hanches je décharge une longue giclée de foutre au fond de son rectum. Je rend la place à David qui fini de la vaginer dans des cris de bête. Au bout du rouleau Jonathan manque de l'étrangler en éjaculant dans sa gorge et c'est David qui porte l'estocade finale, la bête s'affalant parterre dans des soubresauts brusques
La suite fut à la hauteur des évènements : rouge de honte et de plaisir maman s'occupa de nos bites en les nettoyants à coups de langues et de baiser et nous demanda d'aller nous coucher et qu'on réglerais nos problèmes à tête reposée.
Mais je voyais pas trop de quels problèmes elle voulait parler : ma mère est une cougar, de la catégorie "grosse salope" et la-dessus y a pas à y revenir…